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durée : 00:58:41 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Purification, prières, offrandes, sacrifices, processions, oracles, cultes à mystères… La religion grecque antique regorge de rituels qui sollicitent les sens des participants. En quoi ces rituels religieux permettent-ils de mieux comprendre la relation que les Grecs entretiennent avec le divin ? - invités : Adeline Grand-Clément Professeure d'histoire grecque à l'université de Toulouse-Jean Jaurès
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Dans les années 2000, deux femmes affolaient la presse people: Paris et Nicky Hilton, les héritières de la famille du même nom. Des nepo babies, dont la vie semblait consister à profiter de la fortune familiale. Pour beaucoup de lecteurs de tabloïds, elle n'étaient que deux femmes inconséquentes: elles n'étaient pas ce qu'elles sont, elles étaient seulement ce qu'elles ont. Paris a beau eu tenter de faire carrière dans le divertissement, la chanson et le parfum, seule l'image de l'héritière restait. Héritière, un statut dont elle se prévalait, comme le montrent les titres de ses deux premiers livres.
Dans la famille de Karine, l'argent est une préoccupation majeure. Mais contrairement aux Hilton, ici, il manque. On en parle beaucoup, on en manque toujours. Sa mère travaille peu et fait très attention à chaque centime dépensé. Pourtant, elles vivent dans un quartier plutôt bourgeois de Paris. Ce paradoxe, Karine parviendra à se l’expliquer quelques années plus tard.
L'histoire de Karine a été recueillie par Auriane Gueritault.
Transfert est produit et réalisé par Slate Podcasts.
Direction éditoriale: Christophe Carron
Direction de la production: Sarah Koskievic
Direction artistique et habillage musical: Benjamin Saeptem Hours
Production éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours
Prise de son et montage: Victor Benhamou
Musique: Arnaud Denzler
L'introduction a été écrite à quatre mains par Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours. Elle est lue par Aurélie Rodrigues.
Retrouvez Transfert tous les jeudis sur Slate.fr et sur votre application d'écoute. Découvrez aussi Transfert Club, l'offre premium de Transfert. Deux fois par mois, Transfert Club donne accès à du contenu exclusif, des histoires inédites et les coulisses de vos épisodes préférés. Pour vous abonner, rendez-vous sur slate.fr/transfertclub.Pour proposer une histoire, vous pouvez nous envoyer un mail à l'adresse [email protected] -
Au premier étage d’une maison d’Alfortville, en banlieue parisienne, l’autrice-compositrice- interprète récompensée cette année par quatre Victoires de la musique, joue des notes au piano et fredonne. Entre deux dates de concert, Zaho de Sagazan, 24 ans, nous reçoit au siège de son label Disparate, au domicile de sa manager et complice. Avec elle, une valise dont elle veut bien dévoiler le contenu, tout comme elle se livre sur cette hypersensibilité qui l’a mené jusqu’à un succès fulgurant.
Originaire de Saint-Nazaire, dont elle goûte l’alliance de « la mer et du béton », la jeune artiste a baigné dans la culture en grandissant dans une « maison loufoque », entre ses sœurs, son père artiste et sa mère institutrice. Au moment de l’adolescence, elle traverse une phase difficile, se sent à fleur de peau. Fascinée par les prestations du musicien britannique Tom Odell, elle se met au piano pour apprendre à décompresser et gérer ses émotions.
Puis Zaho de Sagazan, découvre la chanson française à textes – Jacques Brel et Barbara – et la musique électronique, notamment à travers l’artiste Koudlam. Elle précise aimer Anne Clark, Soulwax, LCD Soundsystem, Daft Punk et Kraftwerk, groupe qui lui a donné « le plus beau concert de [sa] vie ». Une fois qu’elle a terminé d’écrire le morceau « La Symphonie des éclairs », elle sait qu’elle tient la pièce maîtresse de son album, la clé de la délivrance. Elle qui rêvait de travailler dans l’univers du soin – urgentiste ou chirurgienne – , fait une croix sur ses études de médecine. Devant son instrument, elle entre en hypnose et consulte ses boucles musicales.
Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Johanna Seban
Réalisation : Guillaume Girault
Musique : Gotan Project -
La journaliste et chroniqueuse âgée de 51 ans, qui anime depuis quelques mois « Le Masque et la plume » sur France Inter, nous reçoit chez elle à Saint-Ouen, à deux pas des puces.
Rebecca Manzoni évoque son enfance en Lorraine auprès d'un père proviseur et d'une mère institutrice. Elle s'intéresse très tôt à la musique et à la radio, qui façonnent sa sensibilité et fantasme d'aller vivre à Paris où elle part faire ses études. Elle étudie ensuite le journalisme à Bordeaux puis fait un stage à RTL avant de rejoindre France Inter. Elle se confie sur les différentes émissions qu'elle a animée jusqu'au « Masque et la plume ». Elle livre ses derniers coups de cœur culturels, fait le lien entre Michel Delpech et Annie Ernaux et proclame l'influence qu'a eu pour elle King Kong Theory de Virginie Despentes.
Elle revient aussi sur son goût pour l'écriture radiophonique et quelques créations qui l'ont marquée : « J’adore le podcast de Sophie Simonot construit à partir de ses messages de répondeur qui s’appelle “Vous êtes bien chez Sophie”. C’est fantastique de construire un objet à partir des messages qu’elle a conservés de ses proches, ses parents, ses grands-parents, ses amants, son fils, ses potes… Ça raconte une histoire, une génération. C’est le son dans toute sa splendeur. »
Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Johanna Seban
Réalisation : Emmanuel Baux
Musique : Gotan Project -
Le photographe âgé de 76 ans, dont le travail est exposé jusqu'au 14 juillet au Palais Galliera, à Paris, nous reçoit dans son studio au sein d'un immeuble moderne du 14e arrondissement, à deux pas de la porte d'Orléans.
Paolo Roversi évoque son enfance heureuse à Ravenne en Italie auprès d'un père médecin et d'une mère au foyer qui lui transmet le goût de la beauté. Très jeune, il s'intéresse au football puis à la poésie, de Pétrarque à Montale, se passionne pour Pasolini, Antonioni et les écrivains de la Beat Generation. Après avoir monté son studio, il se met à la photo de mode sous l'influence d'Helmut Newton ou Guy Bourdin. Il parle de son rapport poétique aux images et à la réalité et de l'importance d'avoir une émotion au moment du déclic. Et des artistes et modèles qui l'ont inspiré.
Il revient ainsi sur son enthousiasme pour Verdi, Johnny Cash, Rothko et récemment l'exposition Vermeer à Amsterdam : « C’était sublimissime ! Ses tableaux sont assez photographiques finalement, avec cette recherche de la lumière qui rentre par la fenêtre et ses poses, comme des petits instantanés. Les voir les uns après les autres comme cela, c’était incroyable. C’est comme s'il m’avait suggéré certaines photos. Je me suis dit : “Voilà pourquoi j'ai fait cette photo-là”. »
Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Johanna Seban
Réalisation : Emmanuel Baux
Musique : Gotan Project -
Parquet qui grince, moulures et cheminée. Karim Rissouli, présentateur de « C ce soir », « En société » et « En terres opposées » sur France 5, nous reçoit chez lui, un appartement dans le 9e arrondissement de Paris, qu’il qualifie de « bourgeois ». Presque gêné, comme lorsqu’il a reçu à dîner Nicolas Mathieu. Avec le prix Goncourt 2018 pour « Leurs enfants après eux », le journaliste de 42 ans, né d’un père marocain et d’une mère française, partage le sentiment d’être « transclasse ».
Karim Rissouli évoque son enfance à Brain-sur-l’Authion, en périphérie d’Angers, une zone périurbaine qui accueille les salariés à la recherche de logements moins chers. Ses parents travaillaient dans le secteur social, lui rêvait d’être « journaliste ou footballeur ». Une passion du ballon rond transmise par son père. Ses origines maghrébines lui valaient des vacances annuelles au Maroc qui l’ont fait apprécier la diva Fayrouz et le groupe Nass El Ghiwane. Booba et Damso sont venus après.
Désormais animateur, Karim Rissouli refuse de se plier au costard-cravate, il veut « parler de la société avec ceux qui la font, mélanger les registres de paroles et des invités ». Il raconte avec la même intensité son départ de Canal+ avec l’arrivée de Vincent Bolloré que sa nostalgie pour « Top Gun » dont il connaît les dialogues par cœur.
Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
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Réalisation : Guillaume Girault
Musique : Gotan Project -
durée : 00:58:51 - Stanley Donen et la comédie musicale : un centenaire (3/3) - par : Laurent Valière - Jean Luc Godard explique « Stanley Donen est le roi de la comédie musicale au cinéma ». Dans cette 3e partie, nous explorons des œuvres toujours réalistes ou cyniques, réalisées avec une haute dose d’inspiration et de technicité, à commencer par son chef d’œuvre « Drôle de frimousse ». - réalisé par : Céline Parfenoff
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durée : 00:03:49 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Comment les spectateurs et spectatrices exprimaient-ils leur avis au spectacle ? Comment ces coutumes ont-elles évolué ?
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durée : 00:50:57 - Autant en emporte l’Histoire - par : Stéphanie DUNCAN - 21 mars 1804. Le duc d’Enghien, petit-fils du prince de Condé, enlevé 5 jours plus tôt sur ordre de Bonaparte et emprisonné à Vincennes, est conduit dans les fossés du château et exécuté. Son procès expéditif et cette exécution choqueront "c’est plus qu’un crime, c’est une faute" aurait dit Fouché.
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C'est un travail journalistique, une enquête minutieuse. Delphine de Vigan interroge, interviewe sa famille: elle veut tout savoir de Lucie, sa mère. Parce que Lucie, bipolaire, s'est suicidée, laissant derrière elle tant de questions et si peu de réponses. Dans son roman, Rien ne s'oppose à la nuit, l'autrice va fouiller, chercher, gratter les non-dits pour, enfin, découvrir son lourd passé familial.
C'est cette même volonté qui s'empare de Rose quand sa mère se donne la mort: un besoin de tout connaître qui la pousse à questionner la vie de celle qui avait toujours été là pour elle.
L'histoire de Rose a été recueillie par Zoé Neboit.
Cet épisode aborde des sujets sensibles. Pour savoir lesquels, référez-vous à la fin de la description.
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Direction éditoriale: Christophe Carron
Direction de la production: Sarah Koskievic
Direction artistique et habillage musical: Benjamin Saeptem Hours
Production éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours
Prise de son et montage: Victor Benhamou
Musique: Arnaud Denzler
L'introduction a été écrite à quatre mains par Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours. Elle est lue par Aurélie Rodrigues.
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Sujets sensibles: suicide et envies suicidaires -
durée : 00:58:02 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - À la fin des années 2000, les ventes de La Princesse de Clèves furent relancées par les propos de Nicolas Sarkozy, dénigrant le roman de Madame de Lafayette publié anonymement en 1678. Henriette Levillain revient sur ce texte complexe, dont chaque époque a fait sa propre lecture. - invités : Henriette Levillain Professeure émérite de Littérature à la Sorbonne
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durée : 00:58:39 - Stanley Donen et la comédie musicale : un centenaire (2/3) - par : Laurent Valière - Après le succès de « Escale à Hollywood », Stanley Donen va commencer à réaliser ses comédies musicales : « Chantons sous la pluie » et « On the Town » en coréalisation avec Gene Kelly, « Mariage Royal » et « Give a Girl a Break » seul. - réalisé par : Olivier Guérin
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Quand on choisit un appartement, plusieurs critères rentrent en compte: l'emplacement, la superficie, la luminosité… Mais le plus important, c'est cette sensation de trouver un chez soi, de s'y sentir en sécurité une fois la porte fermée. Comme si cette porte protégeait des dangers extérieurs, de la malveillance, des horreurs du monde. Quand on est chez soi, rien ne peut nous arriver.
Le jour où Bastien et Julie trouvent enfin leur appartement, ils sont ravis de s'installer dans un joli quartier de Londres. Mais cet emménagement n'est pas au goût de tous. Très vite, les regards des voisins se font indiscrets. Et quand sonne la porte, c'est toujours un problème.
L'histoire de Bastien a été recueillie par Mona Delahais.
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Prise de son, montage et habillage musical: Victor Benhamou
Musique: «Anita» – Alexander Hitchens
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durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Comment peut-on expliquer le succès des aventures de Thierry la Fronde, au début des années 1960 ? Que les enfants de l'époque ont-ils retenu de cette série ?
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durée : 00:50:48 - Autant en emporte l’Histoire - par : Stéphanie DUNCAN - Au départ, en 1745, il ne s’agissait que d’une traduction d'un dictionnaire anglais. Mais l'ambition de Jean Lerond d’Alembert et de Denis Diderot est colossale : publier pour la première fois une encyclopédie, dont le but est de recenser tout le savoir humain et de le mettre à la portée de tous.
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durée : 00:58:47 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Le musée du quai Branly présente dans son exposition "Mexica. Des dons et des dieux au Templo Mayor" les richesses et les complexités de la pensée symbolique et des rituels religieux de la civilisation mexica – plus souvent connue sous le nom aztèque. - invités : Steve Bourget Archéologue, responsable des collections Amérique au musée du quai Branly - Jacques Chirac; Anath Ariel de Vidas Anthropologue, directrice de recherche au CNRS, directrice adjointe du laboratoire Mondes américains
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durée : 00:58:12 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - De 1950 à 1954, le sénateur Joseph McCarthy mit en place une vaste machinerie pour lutter contre une prétendue infiltration communiste aux États-Unis. Pesant sur la politique extérieure comme sur l'appareil d'État, il en vint à représenter une menace pour la démocratie, rappelle Hélène Harter.
- invités : Hélène Harter Historienne, professeure à Paris I Panthéon Sorbonne -
Kenny and Mark wrap up some loose threads (and Season Five!) with a celebratory discussion of the title song from Madonna’s THIRD greatest hits album. Topics include: the continuing challenges of a greatest hits record, Paul Oakenfold, Ciaran Gribbin, INXS and the late great Michael Hutchence, a tribute to Fine Young Cannibals, Benny Benassi, a desire for the throb, the Dance of Life, Jesus Luz and his song “Running Man”, Kenny’s fan fiction starring Steven Klein, David Letterman and the “Madge” debate, hockey sticks, Jimmy Fallon, SNL, Lady Gaga, Lourdes, Akon, and the scattering of remixes. Plus, unearthing “Broken” and its brutal poetic truths, and the Mirwais/Monte Pittman collaboration “It’s So Cool.” THANK YOU 4 LISTENING to Season Five: GODDESS (nothing lasts forever). “We need love, love, LOVE!"
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durée : 00:59:03 - Stanley Donen et la comédie musicale : un centenaire (1/3) - par : Laurent Valière - « Chantons sous la pluie », « Drôle de frimousse », « Mariage Royal »… Né le 13 avril 1924, Stanley a toujours rêvé à la fois de Hollywood et de comédie musicale. Dans cette première partie, nous le découvrons d’abord danseur fasciné par les films de Fred Astaire à l’âge de 9 ans. - réalisé par : Olivier Guérin
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durée : 00:58:52 - Cabaret 42e rue : "C'est du délire" et "Chasing Rainbows" - par : Laurent Valière - 2 spectacles « C’est du délire ! » la 1ère comédie musicale gauloise du parc Astérix et « Chasing Rainbows » de Lea Desandre et Thomas Dunford. - réalisé par : Olivier Guérin
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